Gulliver Et La Vicomtesse Barehoe - Рыбаченко Олег Павлович - Страница 8

  Et seule la mère ne dort pas dans la maison.

  Et la nuit, elle t'ouvrira tranquillement la porte,

  Croyez que personne d'autre, seulement maman.

  Alors cette fois, rien ne s'est passé avec ma lettre. Maman, mais je vais certainement écrire, définitivement. Je suis désolé.

  Et la nuit, elle t'ouvrira tranquillement la porte,

  Croyez que personne d'autre, seulement maman.

  Et la nuit, elle t'ouvrira tranquillement la porte,

  Croyez que personne d'autre, seulement maman.

  La fille gloussa et remarqua :

  - Oui, ce genre de choses... Tu as pensé à ta mère. Nous n'avons pas de maman ou de papa ?

  Gulliver a été surpris :

  - Ouah! Et comment est-ce? Comment es-tu né ?

  La Vicomtesse répondit avec un sourire :

  - Une cigogne amène les enfants aux gens. Et nous avons un dragon fabuleux. Seuls les gens ont un conte de fées sur une cigogne seulement une invention pour les petits enfants, mais nous avons un vrai dragon. Parce que nous sommes aussi des mortels, et nous avons besoin de reconstituer notre population de temps en temps.

  Le petit capitaine remarqua :

  - Mille ans de vie, c'est encore si peu ! Surtout si vous êtes toujours plein de force et d'énergie !

  La jeune fille hocha la tête en signe d'accord.

  - Laissez-le voler en un clin d'œil ! Vous n'aurez pas le temps de vous retourner ! Bien que d'un autre côté, vous serez très probablement vendu à la carrière, et le temps passe très lentement!

  Gulliver a pris et chanté :

  - Sur le fait que le travail est un tourment,

  L'hiver et le printemps...

  Une seule exception -

  Quand tu es avec Satan !

  La vicomtesse fronça les sourcils.

  - Vous êtes un chrétien si zélé. Et maintenant je me souviens de Satan ! Où est ta foi !

  Gulliver a honnêtement répondu :

  - Bien sûr que je crois en Dieu,

  Et j'aime le Christ de tout mon coeur...

  Nous avons une perte

  Mais il a une porte !

  La fille frappa de colère son petit pied nu et couina :

  - Chantons quelque chose philosophe !

  Gulliver a repris et a chanté à nouveau;

  Entends le tonnerre rouler

  Hurlement sauvage, malédiction, cri et gémissement,

  C'est l'heure de la récupération

  Combattez Armageddon, combattez Armageddon !

  La vicomtesse frappa de colère son petit pied nu et beugla :

  - Je n'aime pas ces chansons !

  Le jeune capitaine gloussa.

  - Comment ça tu ne l'aimes pas ? Alors chante-le toi-même, si ma musique ne te convient pas !

  La vicomtesse montra les dents et grogna :

  - Je vais le prendre et chanter!

  Et la fille l'a pris et a chanté avec beaucoup d'enthousiasme, ses dents sont blanches, qui sont comme de l'ivoire;

  Et nous sommes des filles fringantes elfimolka,

  Nous aimons nous battre pour la gloire de la Patrie...

  Nous avons un élément de combat, pieds nus,

  Et nous y croyons, nous construirons des palais d'elfisme !

  Notre Elfia n'est pas plus belle que le pays,

  En lui, le soleil des peuples, considère le monde entier...

  Et laisse la horde de Satan attaquer

  Nous ferons quelque chose de plus cool que Shakespeare !

  Vous aimez notre Patrie depuis des siècles,

  Qu'est-ce qui dans les chantiers a grandi notre histoire ...

  Des couronnes les plus grandes et les plus magnifiques,

  Ils avaient l'habitude de cuisiner du porridge spartiate !

  Ne jetez pas notre patrie pour la ferraille,

  Qui est fier, juste saint...